Trame
Parce qu’après avoir raclé la chair du quotidien,
Desquamé toutes les peaux du contingent,
J’atteins la trame, celle qui me soutient,
Cette passion qui me sous-tend,
Me donne la rage de vivre,
Sans elle, je n’existerais,
Pauvre chose ivre,
Juste enchaînée…
Aimer, aimer,
Me délivre.
Aimer…